Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

le deuxieme clic

le deuxieme clic
Publicité
Archives
11 juin 2007

vendredi 8 juin

collage5

Publicité
Publicité
8 juin 2007

mardi 5 juin

collage2

8 juin 2007

mercredi 6 juin

collage3

Sarko +1 mois

8 juin 2007

dimanche 3 juin 2007

collage1

pic nic... malgré le gris

30 mai 2007

Le scaphandre et le Papillon

ScaphandreBildgrossDe Julian Schnabel. Peintre devenu réalisateur;

Le film est tiré du livre de Jean-Dominique Bauby, rédacteur en chef du journal ELLE, atteint du locked-in syndrom suite à un accident vasculaire cérébral.

J'ai lu le livre à sa sortie. j'étais TREs curieuse de voir ce qu'on pouvait en faire. Les critiques ne s'y sont pas trompés en rappelant que le livre était réputé inadaptable. Car en effet... il l'est sans doute. Et Schnabel n'a pas volé son prix de la mise en scène à Cannes.

Le parti pris, la plupart du temps et de nous raconter l'histoire du point de vue de Jean-Do. Avec sa pensée en voix off. Et sa vision très étroite, car il n'y voit plus que d'un oeil, qu'il cligne souvent pour parler. Les autres sont vus de ce point de vue là. avec quelques souvenirs, quelques fantasmes, quelques scènes où on s'éloigne. Où on le voit. Ou on comprend de quoi il s'agit. Car dans sa tête... on est pas trop effrayés.

Ca rappelle le film de Donald *Trumbo Johnny's got his gun. Sauf que là, il ne s'agit évidemment pas de parler de la guerre, de dénoncer quoi que ce soit. C'est juste un type qui n'a pas eu de chance. On ressent les choses avec lui. On voit les autres se défiler ou venir... Agir. Ré-agir.

Quelques scènes (à la musique très bien choisie) resteront pour moi l'image de ce qu'est l'imagination. De ce qu'elle peut-être. De ce à quoi elle sert finalement. Vivre malgré tout. Partout.

Beaucoup de critiques louent le parti pris non lacrymal du film. C'est vrai. On fait peu appel à notre compassion. A notre pitié. A nos sentiment. Le réalisateur nous met en postition de compatir. Mais du point de vu de la victime, pas de celui des autres.

La scène que je  n'oublierai pas :  Celle du moment où tout bascule. Quand l'accident arrive. On le voit venir. Et on sent que ça arrive. On se sent mal.On a  chaud. Les bruits nous écrasent. On sent le cerveau qui se vrille. Le corps qui se dérobe. C'est exraordinaire.

Je... recommande

Publicité
Publicité
30 mai 2007

zodiac

247posterDe David Fincher

Un serial killer dans les années 60. Des couples qui se font tuer. Des lettres bizarres et codées qui arrivent dans des rédactions. Des journalistes qui s'y collent. Des policiers qui cherchent. Et puis plus rien.

Je repense au livre de Jean-Claude Carrière sur le cinéma. Il raconte comment rien qu'en choisissant des moments, on raconte l'inverse de la vie (bizarrement, ce qui m'a le plus marqué, c'est ce qu'il raconte de l'acte sexuel. Comment on ne peut pas le montrer parce que ce ne serait pas joli de montrer la dame enlever sa culotte). Bref... là, finalement, c'est la même chose. L'idée était de montrer la réalité, une vraie enquête (qui merde) et pas un thriller de scenario. Et évidemment, ça se passe moins bien. Le tueur est insaisissable. Mais c'est la procédure qui le sauve. Pas son géni. Ca dure... longtemps, longtemps, longtemps.

L'argument de Télérama expliquant que c'est formidable, que ce film montre comment le cinéma peut donner du sens, de l'existence à une chose qui a à peine existé... qui n'a pas brillé en tout cas... qui ne s'est pas regardée elle-même... m'a touché. C'est vrai. Je ne me suis peut-être pas ennuyée 2 ou 3 heures pour rien.

Mais je me suis tout de même bien ennuyée pendant 2 ou 3 heures.

30 mai 2007

dimanche 28 mai

P1040523P1040538

30 mai 2007

samedi 26 mai

P1040470P1040484

30 mai 2007

vendredi 25 mai

P1040447P1040449

14 mai 2007

Le troquet

02

Vraiment, il n'a pas besoin de moi. La foule est dense. Mais le succès si mérité.

Pour 30 euros tout ronds, on se régale de plats bistros (et plus) réalisés sà la perfection. C'est bon, fin, gouteux.

Le cadre est chaleureux, le personnel symapthique. et les clients bavards. On se parle facilement d'une table à l'autre. On se lèche les babines, on se donne des conseils. On zyeutes les plats des autres. On s'amiuse de l'énormité des portions.

Bref. LE bon restau. Malheureusment, il faut réserver. a moins éventuellement d'arriver très tôt. Ce qu'on a fait.

Publicité
Publicité
1 2 3 > >>
Publicité